Le 06/11/2020, les organisations syndicales de la sophrologie, réunies en mouvement inter-syndical, ont écrit officiellement à chaque préfecture afin d’avoir leur position officielle sur la poursuite des activités des sophrologues (lire le courrier officiel).

Voici les réponses de chaque département (le justificatif est téléchargeable pour chaque département), n’hésitez pas à nous faire parvenir toutes les informations dont vous pouvez disposer à ce sujet à l’adresse suivante : contact@chambre-syndicale-sophrologie.fr

Attention, vue la volatilité des décisions gouvernementales, ces autorisations ou refus sont à interpréter avec prudence, et une autre interprétation des forces de l’ordre est toujours possible.

Légendes : 

  • Autorisation officielle publique (autorisation disponible sur le site internet de la préfecture)
  • Autorisation officielle (autorisation donnée à une organisation syndicale et opposable)
  • Refus officiel (refus donné à une organisation syndicale)
  • Autorisation personnelle (autorisation donné à un, ou des sophrologues, à titre personnel. Moins fiable que l’autorisation officielle car nominative et non sectorielle)
  • Refus personnel (refus donné à un, ou des sophrologues, à titre personnel. Moins fiable que l’autorisation officielle car nominative et non sectorielle)
  • En attente de réponse (demande effectuée mais pas de réponse)

A SAVOIR : Il est inutile de demander une autorisation personnelle de la préfecture pour chaque sophrologue.
Nous cherchons à obtenir des autorisations officielles pour tout notre secteur d’activité suite à notre demande inter-syndicale, mais en attendant de les obtenir, nous diffusons celles déjà reçues à titre individuel par des sophrologues afin de connaître la position écrite de votre préfecture.
En théorie, si un sophrologue a obtenu un accord dans son département, alors cet accord vaut pour tous les sophrologues du département (principe d’égalité devant la loi), vous pouvez donc montrer cette autorisation comme justificatif.
Continuez de nous faire parvenir les accords individuels que vous pourriez avoir dans les départements où nous n’en avons pas encore ou bien des plus récents ou des plus détaillés.